A Huaraz, allons au musée fondé par un curé, le P. Soriano qui lui a consacré sa vie et sa fortune.(…) Dès qu’on y pénètre, on est saisi par la multitude des statues qui y ont été amoncelées dans un vaste jardin à gradins.
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Ce ne sont plus que rangées de personnages aux traits frustes, à la tête ovale, aux yeux saillants, de bas reliefs représentant des félins (…) qui jadis étaient encastrés dans des murs.
De ce fantastique jardin aux sculptures, on jouit d’une vue extraordinaire. Des sommets déchiquetés, des maisons blanches, un immense cirque de sommets que les nuages du soir commencent à dissimuler.
Le P. Soriano nous fait lui-même les honneurs de son musée