Le décor fabuleux des Macchu Picchu, une route en lacets court à flancs de montagne, dominant toujours davantage le paysage qui, tropical près de la rivière, peu à peu, se couvre d’une végétation vert foncé très dense… L’ensemble est sombre et le plus sauvage du monde.
Je comprends la déception de A. en Crête. Comme de voir Bruges après Venise…
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La stricte archéologie m’intéresse moins que l’aura du site. On sent là une manière de vie souterraine non point spatiale, mais temporelle. Un immense mouvement de la durée.